Du 9 au 17 Juin Tour de suisse 2018
Aujourd’hui j’ai décidé de partager mon expérience vécue lors du Tour de Suisse 2018 qui s’est déroulé du 9 au 17 juin dernier. Grâce au groupe Rapido, j’ai eu la chance de partager une journée avec l’équipe Groupama-FDJ et l’ensemble du staff lors de la 2ème étape entre Frauenfeld et Frauenfeld longue de 155 kilomètres.
Pour rappel les 21 équipes professionnelles engagées sur le Tour de Suisse 2018 ont parcouru 1212 kilomètres en 9 étapes entre Frauenfeld et Bellinzona avec des étapes parfois longues de 189 kilomètres. Dernier préparatif avant le Tour de France, je reviens avec vous sur les moments forts de cette journée et sur un sujet clé : le ravitaillement en course des coureurs. #tourdesuisse #demarno #frenchrocket
Mais que mangent les coureurs pendant une étape ?
Sur leur vélo durant plus de 5 heures par jour, les coureurs du peloton n'en oublient pas pour autant de se ravitailler. Comment ? Quoi ? À quelle fréquence ? Explications.
La question paraît anodine, mais elle se révèle ô combien importante. Comment le peloton arrive à manger pendant une étape? Sur la route du Tour de Suisse, les coureurs ont parcouru 1212 kilomètres en 9 étapes jusqu’à l’arrivée à Bellinzona. Pour y parvenir, les professionnels auront parcouru chaque jour plusieurs centaines de kilomètres, affronté la pluie, le froid, la grosse chaleur ainsi que toutes les difficultés «offertes» par le tracé imaginé par l'organisation. Chaque jour, ils auront passé plus de cinq heures sur leur vélo et la question de l'alimentation aura eu tout son sens.
Des petits plaisirs comme un gâteau de semoule
«Tout est fait en sorte pour que les coureurs n'aient à penser qu'à la course, précise Frédéric Guesdon, directeur sportif de la Groupama-FDJ. Le matin, trois heures avant le départ de l'étape, les coureurs mangent des féculents (pâtes), mais aussi des œufs, des céréales et des omelettes, accompagnés de café et de thé.» Le jus d'orange est peu conseillé afin d'éviter les problèmes gastriques. Il faut savoir que, sur chaque étape, il existe ce qu'on appelle dans le jargon du vélo un «point ravitaillement». Les soigneurs-assistants de chaque formation s'y positionnent et donnent les musettes aux coureurs lors de ce passage placé la plupart du temps en milieu d'étape.
Qu'y a-t-il dans ces musettes? «On y retrouve des barres de céréales et des gels (sucre rapide). Après, on peut ajouter d'autres choses, comme le gâteau de semoule, qui a un apport gustatif. Pour ce qui est des boissons, s'il fait chaud, ce sera de l'eau, et s'il fait froid, on peut leur donner du thé chaud.» Voilà pour le menu du jour. Quid des goûts des uns et des autres? Sont-ils pris en compte? «On essaie de leur faire plaisir mais on ne peut pas faire une musette pour chaque mec. C'est impossible. Tout le monde a la même. On se rattrape en leur glissant des bidons avec ce qu'ils aiment, comme de l'eau, des minéraux ou du sirop.» Tout un art.
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Remerciement au groupe Rapido pour m'avoir permis de vivre cette formidable expérience avec l'équipe Groupama-DFJ http://www.corporate-rapido.com/
Plus de vidéos sur cette journée sur mon profil Instagram :
Ravitaillement avec Arthur Vichot : https://www.instagram.com/p/Bj2zIkDBaHC/?taken-by=groom_design
Sagan en Bombe entre les voitures : https://www.instagram.com/p/Bj21weehO2T/?taken-by=groom_design
Un moment FUN avec Benoit Vaugrenard et Olivier Le Gac : https://www.instagram.com/p/Bj78jsoBPSJ/?taken-by=groom_design